Tout le contraire du roman que j’évoquerai plus haut.
Malgré un début sympa, rythmé, accrocheur, le thème principal – la rencontre entre une citadine intellectuelle et un authentique paysan et les gags attendus qui en résultent – ne tient pas la route assez longtemps pour intéresser le lecteur jusqu’au bout. Les deux personnages principaux écrivent alternativement un chapitre chacun à la première personne. Autant cette technique narrative peut très bien fonctionner (comme dans E=MC2 mon amour du regretté Patrick Cauvin), là elle devient lassante à force de répétitions. En fait, après une dizaine de chapitres, on se fout royalement de ce qui va bien pouvoir arriver à ces deux têtes à claques.
Quelques aperçus intéressant de la société suédoise cependant.
Selon moi, le bouquin à lire dans le train, quand on n’a pas envie de trop réfléchir.
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